jeudi 28 avril 2016

Bonjour . Toujours cette éternelle question du temps .
Le temps qui passe sans matérialité mais imprègne les objets et ralentit les êtres .
Le temps positif des idées et motivation parfois des relations humaines.
Le temps qui ne compte que sur lui même fuyant sa propre dimension .
Le temps de tout ce qui a été le combat de la vie , l 'énergie et l'envie de vivre .
Temps spatial du déplacement , du mouvement  , des perceptions .
Il est déjà



L heure du déjeuner . Faut il demander aux personnes si elles peuvent être dessinées ? Je pense que non même si l'on est pas sur de savoir a qui on a a faire . Il n'y a pas vraiment de survie poétique dans la vie psychique quand on écoute le discours de certains . Les personnes se sentent observées mais je n'ai pas besoin d'elles mais de formes dans l'espace . Il n'y a rien de morbide a cela et la représentation de la vie peut très bien être dans une nature morte comme dans un tableau impressionniste .Je n'engage pas d'interaction avec les personnes que je dessine , le plus souvent . La tranquillité est un bien commun a l'humanité , autant que l'individualisme . Apres lorsqu'il y a des schémas relationnels il m'arrive de les inclure au dessin . Ma conclusion apportée a ces deux femmes indessinables par leur seule volonté indépendamment de l'histoire de l'Art a été de leur dire : " quand on demande a des personnes en tant que formes dans l'espace si elles ont des réflexions sur l 'Art , on s'aperçoit qu'il n' y a rien .
Ce n'est pas du sexisme de ma part et particulier aux femmes . C'est du comportement social .
Pourquoi ces personnes ont elles le droit d'avoir un portable , des jeux et des applications , des divertissements ?
Ce problème de société  vient d'une mauvaise éducation a la compréhension . Ce sont les marchands de technologie qui comme les politiques veulent gérer l'humanité loin de toutes formes d'apprentissage . Problème anthropologique sur les fonctions de l'Art dans une société en voie de deshumanisation .

temps de vous quitter pour une prochaine fois .
  

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